La fintech africaine continue d'attirer l'attention du monde entier, alors que Moniepoint (2024) et TymeBank (2024) rejoignent le club des milliards de dollars aux côtés de Flutterwave (2021), OPay (2021) et Chipper Cash (2021)[2][3]. Ces entreprises comblent des lacunes cruciales dans les paiements mobiles, les envois de fonds transfrontaliers et les micro-prêts, favorisant ainsi l'inclusion financière sur le continent.
Des villes comme Lagos, Nairobi, Le Cap et Kigali sont des hauts lieux des accélérateurs technologiques, où des entrepreneurs ambitieux s'attaquent à des problèmes locaux avec des solutions évolutives à l'échelle mondiale[4]. Par exemple, iHub à Nairobi a nourri des startups dans divers secteurs, y compris les technologies de la santé, les technologies agricoles et les technologies de l'éducation[5].
With mobile penetration on the rise, even remote communities are accessing e-commerce, healthtech, and edtech platforms[6]. The Partnership for Digital Access in Africa (PDAA) aims to double internet connectivity in Africa from 40% to 80% by 2030, connecting one billion people[7].
L'explosion des investissements dans les infrastructures 4G et 5G permet de réduire les coûts des données et d'augmenter la vitesse de l'internet. Cependant, seuls 11 % de l'Afrique sont couverts par la 5G, alors que la moyenne mondiale est de 51 %a id="a1">[8]. Les gouvernements et les géants des télécommunications collaborent pour étendre la couverture, en nourrissant des écosystèmes technologiques prêts pour l'avenir et équipés pour les innovations en matière d'IA et d'IdO.
Alors que la population africaine en âge de travailler augmente, le capital-risque mondial voit un immense potentiel dans les technologies de l'énergie, l'agritech et les solutions basées sur l'IA qui répondent aux besoins uniques du continent[9]. La Fondation Mastercard a engagé plus de 770 millions de dollars pour donner des moyens numériques aux jeunes en Afrique[7].